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André Rivoire lettre à Fernand Gregh 1906

André Rivoire lettre à Fernand Gregh 1906

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Description

André Rivoire, né à Vienne (Isère) le 5 mai 1872 et mort à Paris le 19 août 1930, est un poète et auteur dramatique français.André Rivoire entame ses études à l’Institution Robin. Admis en seconde au lycée Ampère de Lyon, il poursuit au lycée Henri-IV. Élève d’Henri Bergson, il se tourne très tôt vers la poésie et publie sous le pseudonyme d’André Suzel. Il est licencié ès lettres.Après un recueil poétique, Les Vierges (1895) et une fantaisie dramatique Berthe aux grands pieds (1899), il donne Le Songe de l’Amour (1900) et Le Chemin de l’Oubli (1904) d’une veine intimiste. Parmi ses dix-huit pièces, signalons Le Bon Roi Dagobert (1908) et Roger Bontemps (1920). Son théâtre vaut par une touche délicate et légère et une certaine justesse de l’observation psychologique.En 1900, il reçoit le prix Archon-Despérouses.Président de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques, il fut décoré de la croix de chevalier de la Légion d’honneur par Jules Claretie le 17 octobre 1908 (il avait été nommé par décret du 22 juillet 1905), puis par Louis Ganderax le 14 mai 1919 lorsqu’il fut promu officier et enfin par le président Raymond Poincaré le 4 avril 1927 lorsqu’il fut promu commandeur.Il est enterré à Vienne au cimetière de Pipet. Sa ville natale lui a érigé un monument en juin 1932Merci wikipédiaFernand GreghNé à Paris, le 14 octobre 1873.Fils du compositeur Louis Gregh, dont la famille était originaire de Malte, Fernand Gregh fit ses études secondaires aux lycées Michelet, Louis-le-Grand et Condorcet où il fut le condisciple de Marcel Proust. Premier prix de composition française au Concours général en 1890, il prépara à la Sorbonne une licence de philosophie.Fondateur, en 1896, de la revue Le Banquet, à laquelle collaborèrent Proust, Robert de Flers, Léon Blum et Henri Barbusse, Fernand Gregh avait connu la célébrité à vingt-deux ans, pour un court poème que le critique du Temps, distrait, avait pris pour un poème inconnu de Verlaine. Gregh devait ensuite entrer à la Revue de Paris, dont il devint l’un des rédacteurs en chef jusqu’en 1909.Poète avant tout, dans une époque où fleurissaient des « écoles » qui étaient plutôt des chapelles, Fernand Gregh avait fondé la sienne, qu’il avait appelée « l’humanisme » en réaction contre la décadence du symbolisme. Il publia dès 1896 nombreux recueils parmi lesquels on compte La Maison de l’Enfance, La Beauté de vivre, Les Clartés humaines, L’Or des minutes, La Chaîne éternelle, La Couronne douloureuse, Couleur de la vie, La Gloire du cœur. Il est aussi l’auteur d’essais critiques : La Fenêtre ouverte, Étude sur Victor Hugo, L’œuvre de Victor Hugo, Portrait de la poésie française de Chénier à Verlaine, Portrait de la poésie moderne de Rimbaud à Paul Valéry. Enfin Fernand Gregh publia plusieurs volumes de souvenirs : Mon amitié avec Marcel Proust, L’Âge d’airain, L’Âge d’or.Président de la Société des Gens de lettres de 1949 à 1950, Fernand Gregh fut élu à l’Académie française le 29 janvier 1953, par 25 voix au premier tour, contre l’éditeur Bernard Grasset, au fauteuil du comte de Chambrun. Il pouvait se prévaloir de figurer, d’une part, parmi les membres les plus âgés lors de leur élection — il avait 80 ans.Fernand Gregh fut reçu sous la coupole le 4 juin 1953 par Jules Romains.Mort le 5 janvier 1960Merci le site des Immortels

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